samedi 31 décembre 2011

REVUE DE L'ANNÉE 2011 - JEUX


Je n’ai pas eu la chance d’essayer tous les titres de cette année et il y a des titres de 2010, mais voici les jeux qui ont marqué mon année de gaming 2011. Ces choix sont personnels et je me suis basé sur les critères suivants : Fun, Fun et… Fun! Pour les déceptions, il y a des titres qui ne sont pas si médiocres mais qui n’ont pas répondus à mes attentes (peut-être) trop élevées!   

MEILLEURS
  1. SKYRIM  (xbox)
  2. ALAN WAKE  (xbox)
  3. BATMAN: ARKHAM CITY  (xbox)
  4. DC UNIVERSE ONLINE (PC)
  5. GEARS OF WAR 3  (xbox)
  6. BORDERLAND  (PC)
  7. DEUS EX: HUMAN REVOLUTION (xbox)
  8. STAR WARS: THE OLD REPUBLIC  (PC)
  9. RISEN  (PC)
  10. THE WITCHER 2  (PC)

SURPRISES
  1. CAPTAIN AMERICA  (xbox)
  2. LORD OF THE RINGS: WAR IN THE NORTH  (PC)
  3. TORCHLIGHT  (PC)
  4. MORTAL KOMBAT  (xbox)
  5. TRINE  (PC)

DÉCEPTIONS
  1. DRAGON AGE II  (PC)
  2. DUNGEON SIEGE III  (PC)
  3. DAGGERDALE  (PC)
  4. TWO WORLDS 2  (PC)
  5. CASTLEVANIA  (xbox)
  6. GOTHIC IV: ARCANIA  (PC)
  7. LIMBO (PC)
  8. DEAD ISLAND  (PC)



    vendredi 23 décembre 2011

    REVUE DE L'ANNÉE 2011- CINÉMA



    MES MEILLEURS 2011
    • X-MEN: FIRST CLASS
    • RISE OF THE PLANET OF THE APES
    • PAUL
    • CAPTAIN AMERICA
    • THOR
    • THE THING
    • SHERLOCK HOLMES: A GAME OF SHADOWS
    MES SURPRISES 2011
    • TROLLHUNTER
    • FRIGHT NIGHT
    • PIRATES OF CARIBBEAN 4
    • I AM NUMBER FOUR
    • GREEN HORNET
    MES DÉCEPTIONS 2011
    • GREEN LANTERN
    • SUPER 8
    • CONAN
    • COWBOYS AND ALIENS
    • HARRY POTTERS
    MES PIRES 2011
    • SEASON OF THE WITCH
    • HOBO WITH A SHOTGUN
    • TRANSFORMERS: DARK OF THE MOON
    À VOIR AVANT LA FIN 2011
    • THE ADVENTURES OF TINTIN


      mardi 13 décembre 2011

      BATMAN NOËL: CRITIQUE


      Batman Noël est le titre d’un nouveau graphic novel réalisé par l’un de mes artistes préférés: Lee Bermejo. Reconnu pour son talent sur les excellents Joker et Lex Luthor, il scénarise également, pour une première fois, ce récit puissant et surtout... émouvant.

      Je dois admettre que j’avais quelques réserves avec cette adaptation d'un classique de Charles Dickens: A Christmas Carol. J’imaginais mal Batman en Ebenezer Scrooge et être visité par trois fantômes dans un contexte enfantin. J’avais tort! On y trouve les mêmes thèmes mais l’histoire est complexe et elle est venue me chercher. Je ne sais pas si c’est parce que je suis père mais le personnage secondaire ma profondément bouleversé.

      Batman est malade tout le long du récit (une pneumonie) et semble avoir perdu contact avec son humanité. Il utilise, sans scrupule, un pauvre père comme appât pour attraper le Joker. Alors que le récit progresse, Batman fera trois rencontres (l’analogie débute) qui le feront réfléchir sur son passé, présent et futur. Il aura de profonds questionnements sur sa legacy et se que les gens diront de lui lorsqu’il sera mort.  

      Visuellement, ce graphic novel est renversant et très réaliste. Selon-moi, il y a beaucoup de similitudes dans le coup de crayon de Bermejo et celui d’Alex Ross. Gotham City en hiver est sublime et le niveau de détails m’a jeté par terre.  

      En résumé, Batman Noël est une brillante version de Christmas Carol. La qualité est au rendez-vous au niveau du dessin et de l’histoire. Les fans de Batman doivent se procurez ce petit bijou juste à temps pour les fêtes.

      Un solide 9/10

      mercredi 7 décembre 2011

      THE ELDER SCROLLS V: SKYRIM


      Non, je ne dormais pas dans le fond d’une caverne. Les dernières semaines, j’ai tenté de terminer le sublime SKYRIM pour en faire une critique mais j’ai réalisé qu’il serait impossible de le faire en un temps raisonnable. Skyrim est énorme! On parle de plus de 200 heures pour compléter la majorité des quêtes principales et secondaires et malgré cela, les concepteurs ont incorporé un générateur de quêtes infinies à la fin du jeu qui fait que, techniquement, il est impossible de « finir » Skyrim.

      Je suis un gros fan de la série des Elder Scrolls et j’attendais avec impatience ce cinquième opus. La série est reconnue pour sa profondeur incroyable et sa qualité de production. Je suis très heureux de voir que la série est toujours sur de bons rails. Skyrim est un RPG dans tous les sens du terme; tu explores, tu fais des quêtes, tu ramasses du matériels, tu gères l’inventaire et tu levels ton personnage dans un univers complexe.

      Skyrim est le sandbox parfait où l’on peut faire se que l’on veut. Il n’y a pas de chemin précis du point (a) au point (b), le continent est ouvert et vous pouvez aller où vous voulez sans restrictions. Vous pouvez explorer durant des heures, scraper le scénario, vous introduire dans les demeures pour voler et assassiner les gens, lire des centaines de livres qui traînent dans d’innombrables endroits, etc. Liberté total et possibilités infinies. Le nombre de personnages est varié et nombreux. Les missions sont légions et l’intelligence artificielle est impressionnante. La bande sonnore est aussi très belle et immersive.  


      Il y a beaucoup d’amélioration par rapport aux autres Elder Scrolls, comme des indications claires pour les quêtes, l’histoire principale, etc. Le graphisme du jeu n’est pas parfait mais ceux qui chiale ou qui se plaignent des bugs doivent réaliser qu’il s’agit d’un jeu ouvert et qu’il est impossible de corriger la totalité, sinon le jeu ne sortirait jamais. Certains reprochent aussi la répétitivité des combats mais le jeu est tellement ouvert par rapport aux autres RPG qu’il vous est possible, quand bon vous semble, de changer le style de votre personnage. Vous avez monté un chevalier et vous êtes tanné de buter des Dragons avec votre arc! Et bien changez votre équipement et spécialisez vous dans la magie destructive ou même illusoire. Vous désirez Sneaker en voleur avec de la magie dans une main et une masse dans l’autre… pas de problème! Vous ne serez jamais lié à vos choix que vous avez faits auparavant puisque le système est basé sur les talents.  

      Skyrim c’est du crack! Tu t’installes pour jouer et tu réalises que tu viens d’y passer six heures. Quand tu n’y joues pas, tu y penses tout le temps. Pour moi, cela est synonyme d'un pur chef-d’œuvre. J’y ai investi soixante-cinq heures et j'ai encore goût d'y jouer. Malgré tous les bons titres parus dernièrement, aucun m’en a offert autant pour 60$.

      Donc, si les jeux interminables de quêtes et d’énigmes sont votre style, vous devez jouer à Skyrim. Mais faites gaffe!!! votre vie sociale pourrait en prendre un coup!

      Un 10/10

      vendredi 25 novembre 2011

      BRIMSTONE ANGELS CRITIQUE


      La vie est trop courte pour se faire chier avec de mauvais livres! Je lis une vingtaine de romans par année et il m’arrive 3-4 fois de ne pas les terminer. C’est difficile car je suis un complétiste mais lorsque cela devient une « job » de lire chapitre après chapitre, il est temps de passer à un autre. C’est se qui s’est produit avec Brimstone Angles de Eric M. Evans après 120 pages. C’est dommage car j’avais adoré son premier ouvrage God Catcher et m’était fait une note d’acheter son prochain dès sa sortie. Erreur!

      Même si Erin M. Evans a une bonne plume, je pense que pour Brimstone Angels, elle a voulu être trop original. Il y a des lecteurs qui recherchent que l’originalité dans les oeuvres mais encore faut-il que se soit intéressant! Personnellement, je n’ai aucun problème avec le gros cliché ou l’originalité en autant que l’exécution soit divertissante et qu’il y ait du suspens. Ce n’est malheureusement pas le cas ici!

      L’histoire est c’elle de Farideth, une tiefling, et de sa sœur jumelle qui se dirigent vers Neverwinter après que Farideth est fait un pacte avec un démon du nom de Lorcan. Celui-ci lui promet puissance et rien en échange. Après cent vingt pages, elles ont quitté leur village et sauvé une caravane contre des orcs. zzz zzz zzz. J’étais incapable d’entrer dans l’histoire. On nous présente des personnages différents mais après un tiers du livre il ne se passe rien, mais alors vraiment rien. De plus, l’auteur assume que son lectorat connaît parfaitement l’univers et la mécanique de Forgotten Realms. Elle incorpore plusieurs races, démons, et organisations sans trop de descriptions. Un nom, la race et vlam, son discours. Heureusement que je connais bien cet univers et l’existence de google mais pour un non-initié c’est du chinois.

      Le livre fait parti de l’événement Neverwinter dont j’ai parlé il y a quelques semaines. Ce roman et celui de R.A.Salvatore sont très décevants et le MMO est retardé d’un an. Je pense que l’on peut parler d’un rendez-vous manqué.  

      Pas de note puisque je n’ai pas terminé le livre.

      jeudi 10 novembre 2011

      GHOULS OF THE MISKATONIC CRITIQUE


      Quelque chose de terrible dort profondément dans l’océan, émanant un pouvoir plus sombre et plus destructibles que tout imaginables. Et il y a ceux qui souhaitent le réveiller…

      Les années 20, ce sont les années folles et d’étranges choses se produisent dans la petite ville du Massachusets que l’on nomme Arkham. Plusieurs corps mutilés sont trouvés sur le campus de l’université Miskatonic et les autorités locales se demandent s’il s’agit de l’œuvre d’un meurtrier en série, ou quelque chose d’autre! Alors qu’un professeur cherche des réponses dans les divagations d’un collègue devenu fou et les cauchemars de son élève le plus doué, deux journalistes fouillent les endroits les plus sombres de la ville pour trouver des indices. De l’autre coté de la ville, il y a un trafiquant d’alcool qui s’échappe d’une situation sinistre et en possession d’un objet étrange. Le père d’une des victimes se pointe en ville et désire vengeance. Ce groupe hétéroclite d’investigateurs devra s’unir pour faire face aux horreurs qui menacent la ville.    

      De Fantasy Flight Games vient cette histoire mystérieuse de suspense et d’horreur surnaturel situé dans le monde du jeu Arkham Horror. Ghouls of the Miskatonic est le premier livre de la Trilogie des eaux sombres, de la plume de l’auteur Graham Mcneil.

      J’ai bien aimé ce petit bouquin! J’avais d’énormes craintes puisque ce livre s’inspire d’un jeu, lui-même inspiré de l’univers de Lovecraft. De plus, Ghouls est distribué par une compagnie qui en est à ses premiers pas dans la publication de fiction. Heureusement, ils ont eu la brillante idée d’engager un auteur d’expérience ayant une vingtaine de romans derrière la cravate. Stephen King disait qu’un bon auteur a cette façon d’écrire clairement qui vous laisse croire que vous auriez pu facilement écrire les mêmes mots. Mais dans les faits, cela est très difficile! Mcneil possède, à mon avis, ce talent. Les phrases sont claires, les chapitres bien épurés et malgré plusieurs personnages, tout reste simple à suivre.

      Ce livre est le premier d’une trilogie annoncé, mais j’ai vraiment la satisfaction d’avoir lu une histoire complète. Un gros Thums Up pour cela!

      Un solide 8/10

      lundi 7 novembre 2011

      BATMAN: ARKHAM CITY CRITIQUE


      Je viens de terminer la campagne principale de Batman: Arkham City et je peux enfin me reposer les yeux. Ce titre est époustouflant à tous points de vue et nul doute qu’il sera finaliste pour le jeu de l’année.

      Je débuterai par vous dire que l’histoire est fabuleuse, riche et complexe avec de nombreux rebondissements. L’histoire principale m’a pris environ dix heures mais il y a des tonnes de missions secondaires qui vous occupera très longtemps après la « fin » du  jeu. Vous rencontrerez plusieurs vilains connus et moins connus de l’univers de DC et aurez la possibilité de résoudre des centaines d’énigmes du Riddler éparpillés sur toute la carte. Il est même possible d’incarner Catwoman pour quatre missions, courtes, mais divertissantes. Je pourrais aussi vanter son graphisme impeccable, d’une recherche approfondie de design du gettho devenu prison et l’ambiance qui s’y dégage. Vous serez libre de faire planer votre détective où bon vous semble et découvrir, à votre rythme, toutes les missions disponibles.

      Arkham City est un jeu d’action et, bordel, il y en a pas mal. Le système de combat s’apprend facilement et donne vraiment l’impression d’être entrain de botter les fesses aux petits voyous d’Arkham City. Les gadgets sont aussi très importants dans ce jeu car ils vous permettront de résoudre les énigmes, franchir des portes blindées, survoler des gouffres et la liste est longue. Lorsque vous montez de niveau, il vous est possible d’améliorer l’efficacité de votre costume, des gadgets et des techniques de combat.

      La qualité de cette production est indéniable! Les cinématiques, les interprètes (Mark Hamill, Kevin Conroy, etc.) et peu de bug en font un titre de qualité supérieur. Une suite digne du premier opus Arkham Asylum.   

      Un Solide 9/10

      vendredi 28 octobre 2011

      SUGGESTIONS POUR L'HALLOWEEN

      Voici deux suggestions pour vos téléviseurs en ce week-end pré-halloween

      THE WALKING DEAD est un petit bijou de la télévision. La première saison est disponible à plusieurs endroits (magasin, club vidéo, Internet) et c’est un must! « Pas encore des zombies! » me direz-vous. Peut-être, mais la force de cette série réside dans ses nombreux personnages intéressants. C’est une série dramatique et un thriller sensationnel qui développe, en seulement six épisodes, une toile incroyablement riche qui vous captivera à coup sur! Contrairement à plusieurs films de zombies, l’emphase est sur la relation des personnages dans un contexte chaotique. Ça pourrait être l’après-guerre, une invasion extraterrestre…peu importe, les zombies ne sont pas importants. Survivre et savoir se qui se passe après toute cette merde est se qui porte les personnages. Je suis heureux car Robert Kirkman, l’auteur de la série culte de comic, est impliqué dans la production et même si Frank Darabont a modifié le récit original, elle demeure aussi intense. Une deuxième saison de douze épisodes vient de débuter sur AMC, mais la première série vous divertira au max!





      TRICK’RTREAT : Ce film est devenu mon classique d’Halloween. Moi et ma conjointe aimons vraiment ce petit bijou produit par la bande à Brian Singer. Le film est construit comme l’était les Creepshow dans les années 80, c’est-à-dire, plusieurs petites histoires d’horreurs interconnectés pour tisser une histoire globale. Il y a quatre histoires principales qui se déroulent un soir d’Halloween : Un directeur d’école qui s’adonne être un tueur en série; une collégienne qui rencontre enfin l’homme qu’il lui faut;  un groupe d’adolescents organise une mauvaise blague; un vieil homme qui déteste l’Halloween pour des raisons expliquées dans les autres histoires.

      Ce film n’est pas trop violent. Il est plus accessible pour la famille que certains autres classiques de l’horreur et, à mon avis, très original. Bon visionnement!

      jeudi 20 octobre 2011

      L'ENQUÊTEUR DU PARANORMAL CRITIQUE


      Christian R. Page, Sceptique ou Croyant?

      J’aime, de temps en temps, me taper des livres sur le paranormal. Cela me ramène à mon début d’adolescence où je trippais sur ces phénomènes. Christian R. Page est, selon-moi, l’une des personnes les plus crédibles au Québec sur les phénomènes étranges. Son approche journalistique et historique a beaucoup plus de poids que certains auteurs qui ne font que théoriser derrière leur laptop. Comme il l’écrit lui-même, les sceptiques trouvent qu’il est trop croyant, et les croyants trop sceptique. Et bien, je me considère dans le même camp!

      Les chapitres de L'enquêteur du Paranormal sont regroupés sous cinq grands thèmes « Contacts avec l'au-delà », « Voyageurs de l'espace», « Inexplicable et PSI », « Créatures de l'ombre » et « Mystères historiques». J'ai particulièrement aimé le dernier chapitre avec les cas historiques de Jack L’éventreur, la bête de Gévaudan, la sainte lance et les Nazis.Les cas sont excessivement bien documentés. Il y a plusieurs pages de références à la fin du livre. L’auteur s’est déplacé physiquement sur les lieux pour enquêter et fouiller les dossiers, même si certains se sont déroulés il y a fort longtemps.

      Certaines enquêtes ont été présenté via ses émissions Dossiers Mystère sur Canal D. J’étais familier avec quelques cas et j’aurais aimé en avoir plus sur les ovnis mais je trouve que Page est sur la coche. Certains diraient qu’il « débunk » plusieurs cas populaires dans le milieu du paranormal mais contrairement aux sceptiques, il appuie ses conclusions avec des preuves.

      Ce livre est un peu court avec seulement 260 pages de dossiers, mais une suite est déjà en préparation. Je le recommande pour l’aspect historique des dossiers. Que vous soyez sceptique ou non, ce livre dresse un portrait détaillé des cas et c’est à vous de déduire de la véracité des histoires. Vous pouvez entendre en archives les chroniques de Christian R. Page sur 98.5 avec Benoît Dutrizac

      Un solide 8.5/10

      lundi 17 octobre 2011

      GEARS OF WAR 3 CRITIQUE


      L’automne est franchement trop chargé de nouveaux jeux et livres qui m’intéresse. Avec la famille à prendre soin, garder le rythme est difficile. Malgré tout, j’ai trouvé  le temps de triompher de la campagne solo du troisième opus de Gears of War, exclusif sur xbox 360.

      Gears of War 3 se veut une suite directe au deuxième titre ainsi qu’aux romans publiés ces dernières années. Après seulement quelques minutes, J’ai réalisé que l’on était une coche au-dessus du récent Warhammer Space Marine paru il y a quelques semaines. Polissage, qualité de production, jouabilité, histoire, co-op et j’en passe.

      La campagne solo prend dix heures en mode normal/difficile. Il y a possibilité de co-op dans la campagne en split-screen ou online. Comme je l’ai mentionné, l’histoire est la suite directe au deuxième Gears et c’est mon seul bémol. J’aurais préféré avoir des aventures indépendantes et plus soutenues comme l’était le premier (un must) ou comme la série Halo. Je sens l’effort pour tenter de nous tirer une larme mais sans pouvoir l’expliquer, je suis un peu déçu de la campagne. Ceci dit, le jeu est extrêmement bien fait, les graphiques surpassent les deux premiers et le Gameplay est au top de se que peut offrir les consoles d’aujourd’hui.

      Tout comme Halo, Call of Duy ou Battlefield, la duré de vie de Gears est assuré par son immense popularité online. Les possibilités sont nombreuses et il faut le dire, c’est très amusant! Bref, des heures de plaisir pour les fans du combat pvp.  

      Gears of War 3 est un autre Shooter de qualité qui offre énormément pour les fans de ce genre!

      Un solide 9/10

      mercredi 12 octobre 2011

      BATMAN EN VRAK

      BATMAN: THE DARK KNIGHT est une nouvelle série écrite et dessiné par l’artiste David Finch. Le premier arc de cinq numéros explore un coté plus surnaturel de Gotham alors que Batman enquête sur la disparition de Dawn Golden, une amie d’enfance. Il fera face à un culte étrange, quelques ennemies classiques et de surprenants alliés. J’ai adoré l’histoire de ce premier arc. Le coté détective de Batman est bien utilisé et il n’y a pas trop d’action inutile. Le coup de crayon de Finch est l’un des meilleurs de l’industrie, selon-moi, et cette série est son bébé de A à Z. Je la recommande chaudement.

      Un surprenant 9/10



      BATMAN: ARKHAM CITY est une mini-série de cinq numéros écrite par l’illustre Paul Dini et dessiné par Carlos D’Anda. Il s’agit d’un prélude au très attendu jeu vidéo Batman: Arkham City qui sortira la semaine prochaine. L’histoire mets les bases sur les circonstances entourant le jeu. Tout comme Arkham Asylum, cette histoire nous en mets plein la gueule et elle est une suite directe au premier jeu. Le maire de Gotham (sous contrôle du Docteur Hugo Strange) décide d’ériger un mur dans une portion pauvre de la ville afin d’isoler les criminels psychopathes de Arkham qui s’évade trop souvent. Cette immense prison se nomme Arkham City et le chaos s’y installe rapidement. Les bandes dirigées par Joker, Two-Face, Pinguin, etc, s’affrontent et Batman tente de se démerder dans ce chaos. Il est en effet plus facile d’y entrer que d’en sortir! Le contexte me rappel les films Escape from New York et Doomsday mais à la sauce Batman. Une bonne lecture avant de jouer mais pas nécessaire.

      Un respectable 8/10



      BATMAN: YEAR ONE est le dernier film animé produit par DC Animated. Il s’agit d’une adaptation d’un classique de Frank Miller qui porte le même nom. Ces quatre numéros légendaires ont façonné le Batman des 25 dernières années et plusieurs créateurs s’en ont inspirés. Par exemple, Batman Begins de Christopher Nolan incorpore de nombreux éléments de cette histoire. Vous aurez donc, peut-être, l’impression de connaître certains passages ou éléments de ce film d’animation sans jamais avoir lu cette BD.  Year One raconte les premiers pas difficiles du jeune Bruce Wayne (agé de 25 ans) en tant que Batman. Il combat la pègre et la corruption et fait son apprentissage à la dur. Nous suivons aussi son allié, le jeune sergent idéaliste Jim Gordon, qui vient d’arriver à Gotham avec sa femme enceinte. Ce studio nous offre, encore une fois, une production très léchée et de qualité. Les interprètes font un bon travail et la trame sonore est impeccable. L’adaptation est fidèle au matériel source et peut être même trop! Le rythme de certains passages en souffre et j’aurais ajouté un peu de matériel pour allonger le film. Personnellement, cela demeure l’une des meilleures productions de DC Animated après Batman: Under The Red Hood et Wonder Woman.

      Un solide 8.5/10



      vendredi 7 octobre 2011

      CROSS COUNTY CRITIQUE



      Il y a environ trois ans, Wizards of the Coast tenta de lancer une nouvelle série de romans appelés (Discoveries). Une série située dans notre univers, mais avec une touche de fantastique. Malheureusement, la série n’a pas fait long feu, mais, nous avons eu droit à quelques ouvrages intéressants, dont un opus du talentueux Tim Waggoner.

      Lorsqu’elle était jeune, Joanne Talon disparu pendant six jours. Elle réapparu sans jamais se souvenir des événements et où elle fut amené. Peu de temps après, quatre personnes sont assassinés vicieusement, sans motif apparent, par Carl « The Cutter » Coulter. Carl leur trancha la gorge et grava ensuite un symbole bizarre – un éclair dans un triangle- sur leurs abdomens.

      Joanne est maintenant Shérif du conté de Cross (Cross County), Ohio, et Carl Coulter est mort, exécuté pour ses crimes il y a huit ans. Cependant, les meurtres ont repris à nouveau, gorge tranchés, et la signature de Carl dans l’estomac des victimes. Joanne, avec l’aide du journaliste Dale Ramsey, doit découvrir qui tente d’imiter les crimes de Carl et pour quelle raison. En plus, les meurtres ont attiré l’attention de la sinistre famille Cross, qui dirige le conté qui porte leur nom depuis deux siècles.  

      Ce livre est excellent! J’ai vraiment aimé l’histoire. Ce n’est pas un livre très long mais les personnages sont parfaitement développés et j’adore le style d’écriture de Tim Waggoner. Il a un talent pour écrire des histoires tordues mais réalistes… dans un sens. Il y a également une touche de « Cthulhu Mythos » que j’apprécie particulièrement.

      J’ai rarement été déçu par cet auteur dont les histoires sont dans la veine de Stephen King ou Dean Koontz, Cependant, soyez averti qu’il ose parfois aller un peu plus loin dans la violence et la sexualité que les auteurs « mainstream ».  

      Ce livre publié en 2008 sera peut-être difficile à trouver mais avec un peu de recherche il est disponible sur le web. Sinon, je vous suggère trois autres œuvres de Waggoner qui sont des classiques dans ma collection : Darkness Wakes, Pandora Drive ou Like Death.

      Un solide 9/10

      mardi 4 octobre 2011

      THE X-FILES: 30 DAYS OF NIGHT CRITIQUE


      Nostalgique de X-Files? Fans d’horreur? Vous aimez les comics? The X-Files 30 Days of Night est assurément pour vous! Cette mini-série de six numéros publiés chez Wildstorm/IDW est disponible en trade depuis juillet dernier. J’aimerais remercier les mystérieux étonnants pour cette suggestion de BD qui était passé sous mon radar l’an dernier.

      Steve Niles est un auteur d'horreur prolifique et talentueux qui n’a rien à envier aux Frank Miller ou Mike Mognola de ce monde. Il sait hypnotiser le lecteur avec ses lignes magiques et ses références subtiles mais savoureuses. Il a créé un univers gothique bien connu intitulé 30 Days of Night. La série originale a même eu son adaptation cinématographique (et une suite poche

      Dans ce Crossover, Nous suivons les agents Fox Mulder et Dana Scully en Alaska afin d’enquêter sur une série de meurtres plutôt violents. Les deux agents du FBI utilisent leurs méthodes d’enquêtes habituelles pour nous dévoiler l’histoire et plusieurs surprises. Il fait froid, il fait noir et nous sommes en présence de… Vampires. Créatures bad-ass et démoniaques presque animales, et non de cochonneries à la Twilight.

      Steve Niles a fait un travail remarquable de caractérisation et son histoire tient la route dans ce mélange d’enquête, d’horreur et de violence. J’ai adoré l’autopsie de Dana, particulièrement détaillé, sur l’anatomie d’une des créatures. La présence aussi d’un département similaire aux X-Files en territoire Russe m’a bien fait sourire.

      J’adore X-Files et j’adore l’horreur bien racontée. Un ouvrage parfait pour le mois d’octobre, si vous êtes fans du genre!

      Un « Spooky » 9.5/10 

      lundi 3 octobre 2011

      RÉSUMÉ SESSION 2: KNIGHTS OF THE OLD REPUBLIC

      THE SPACE DWELLER SAGA


      PART II
       
      Les Space Dwellers ont décidé de partir après le chef de Interplanetary Acquisitions. Ils ont réussi à capturer le criminel Pal-Nada le Cerean, qui a une rançon de 50,000 crédits sur sa tête par CorSec. Ils ont "infiltré" le Q.G. de l'organisation dans le spaceport Sahl-Evin sur Jenenma, affronté les pouvoirs de la Force du mastermind et démantelé une bonne partie de sa compagnie de voleurs de vaisseaux (avec un peu d'aide du Duros Squedge Eepse, et de leur droid protocolaire C0-B1-GE3 "Captain Obvious"). Est-ce que Nah Olos va tenir sa promesse et apporter Squedge avec eux? Est-ce que Frak'hur va accepter le fait qu'il s'est fait battre par un Gamorrean épais? Est-ce que Ithaqua va cesser de boucher la toilette du vaisseau? Découvrez les réponses dans le prochain chapitre de la saga des Space Dwellers!

      mercredi 28 septembre 2011

      STAR WARS: THE OLD REPUBLIC: FATAL ALLIANCE CRITIQUE



      Comme vous le savez peut-être, il m’arrive de lire quelques romans de l’univers étendu de Star Wars. J’ai des périodes où j’en lis plusieurs et ensuite, je me lasse car disons-le, la qualité des ouvrages est assez inégale! Personnellement, je préfère suivre de bons auteurs sur différents univers que de me consacrer à un seul et ingérer sans retenu tout ce qui en émerge.

      Voici donc ma critique de Star Wars : The OldRepublic : Fatal Alliance par Sean Williams. Il s’agit du premier volume publié et lié à The Old Republic. L’histoire se déroule quelques temps après Deceived, dont j’ai fait la critique ici.

      L’an -3,500, le cartel des hutt organise une vente aux enchères. Des représentants de la République, de l’Empire, Un Mandalorien et Contrebandiers se rendent sur Hotta. Tous désirent l’objet et certains tenteront de le voler. Les personnages découvriront que le trésor mène à un monde inconnu où une menace galactique se prépare. Jedi, Sith et traîtres devront s’unir (d’où le titre) afin de vaincre cette menace.

      Je dois dire que je suis plutôt déçu. Même si l’idée d’une alliance n’est pas un concept nouveau (par exemple les Yuuzhan-Vong) j’étais intrigué par cette histoire. Le problème c’est que la trame narrative est trop simple et n’offre pratiquement pas de développement des personnages qui sont trop nombreux. J’ai senti l’obligation d’inclure chacune des classes du jeu vidéo. Le voyage est ennuyant, les personnages sont sans saveurs et le livre (presque 500 pages) est inutilement long. Il y a pleins de chapitres de description inutile de scènes de combat qui sont loin d’être épiques. Je pourrais sincèrement diviser le livre en trois actes et résumer avec précision tout se qui se passe en quelques lignes.

      C’est peut être le manque de mystère, de suspens ou une structure bizarre mais je suis très insatisfait de ce livre. Le synopsis avait du potentiel et il y a quelques bonnes idées mais l’exécution est plutôt banal. Je ne pense pas lire d’autres romans de cet auteur qui semble se spécialiser dans l’adaptation de jeux vidéo dans l’univers de Star Wars.

      Un décevant 6/10

      mercredi 21 septembre 2011

      RÉSUMÉ SESSION 1: KNIGHTS OF THE OLD REPUBLIC

      Samedi dernier, nous avons débuté notre campagne de Star Wars RPG à l’époque de l’ancienne république (+ de 3,000 ans avant les films). Il s'agit des aventures d'une bande de mercenaires endurcis durant la période des Mandalorian Wars  Pour une fois, j’occupais la chaise de joueur et cela est très plaisant. Voici donc un petit résumé grossier de notre première aventure. J’ai laissé de coté les insides jokes et interactions inutiles à l’histoire. Ce fut une super soirée!


      THE SPACE DWELLER SAGA

      PART I

      Mandalorian invasion! Depuis  deux années que les forces de Mandalore conquièrent leur voie dans les territoires de la République, érodant les ressources du gouvernement Galactique et ce, peu après la grande guerre Sith. Avec un grand nombre de leur flotte engagé sur plusieurs fronts dans différents conflits, l’armé de la République tente de prévenir de nouvelles incursions ennemies en protégeant des planètes stratégiques comme Balamak.


      Les Jedi ont décidé de rester hors des combats, le Sénat se tourne en désespoir  vers la milice planétaire et des groupes indépendants de mercenaires pour les aider. Les rapports d’une attaque imminente ont urgé l’évacuation des représentants et dignitaires de Balamak. Par manque de transport militaire, le gouvernement a nul autre choix que d’engager des propriétaires indépendants de vaisseaux pour transporter le personnel vers des lieux plus sûr.  


      Le Space Dweller sort de l’orbite de Balamak ayant à son bord 25 dignitaires entassés dans l’espace cargo. La république a engagé le groupe afin de transporter ces hauts dignitaires vers des Capital Ships de la république. Soudain, sortant d’hyperespace, un contingent Mandalorien impressionnant envahi l’espace aérien et s’en prend à la République. C’est la guerre!!!


      Le capitaine Mandalorien un certain Derrim Khaaaaaaaaaaaaannn (et on a bien rit) prend contact et désire que l’on se rendre et surtout, le cargo. Leurs attaques aux Canons Ions semblent indiquer qu’ils ne veulent pas nous détruire mais nous faire prisonnier. Alors que le pilote effectue plusieurs manœuvres défensives, que notre Brooner gagne du temps en tirant comme un déchaîné, notre expert en Astronavigation Frack'Hur effectue les calculs pour une évasion immédiate. Après avoir perdu le pouvoir du ship pendant quelques secondes, Itaka a réussi à rétablir le courant et nous avons pu nous échapper de justesse. 


      Désirant recevoir tout de même notre dû, nous avons « négocié » avec le chef des passagers et notre destination était désormais Coreillia. Une planète indépendante mais avec une ambassade Républicaine. Après avoir obtenu l’autorisation et payé les droits d’accostage, nous avons réclamé notre bourse et remis les dignitaires en liberté. Il était important de ne pas prendre parti dans cet affaire. Nous avons eu des nouvelles de Balamak sur le Holonet. Il appert que la république a envoyé une force massive pour reprendre la planète. Les Mandalore ont quitté rapidement l’espace aérien de Balamak. Il s’agissait probablement d’un Test!

      Le groupe se sont donné deux jours de repos individuels où chacuns s’est amusé sur la belle Corellia. Ensuite, un Twi’leks du nom de Pol-Nudo s’est présenté à nous, représentant de Interplanetary Acquisitions, pour acheter notre ships.

      Nous nous sommes rendus à leur bureau, où, après des négociations douteuses, avons été attaqué par des sbires de son groupe. Nous avons été surpris puisque le port d’armes est interdit, mais nous nous en sommes bien sorti avec nos poings contre ces bandits armés.


      Après les avoir vaincu, la police est venue sur place. Cependant, nous devions faire vite car un Quarren était entrain de busté notre vaisseau dans les docks. Il s’agissait donc d’une diversion de ces voleurs et, cela a failli nous coûter le ship.

      Mais sachez ceci chers lecteurs: Personne, je dis bien Personne mess with the Space Dweller!!! 





      THE SPACE DWELLER CREW
      (résumé grossier)
      Nah Olos, Humain, capitaine, ténébreux, porte un œil patch (cybernétique), a perdu la mémoire il y a deux ans, il est à la recherche de son passé. Il possède la photo d’une jeune fille dans ses poches et utilise tout son argent afin de découvrir qui il est. Il est ami avec Frack'Hur, un Mon Calamari ex-médic.

      Ils assistaient à des courses de speeder. Ils se sont lié à Zed, un pilote Twi’leks et Brooner,son bodyguard Humain. Le pilote a gagné au gambling un starship. Cependant, l’ancien propriétaire disparu a laissé le starship criblé de dette. Le groupe décide de garder le ship et travailleront ensemble pour rembourser les 500 000 crédits. L’équipage est complété par un Droid TT80 et un Wookie mécano du nom de Itaka.

      mercredi 14 septembre 2011

      WARHAMMER 40,000: SPACE MARINE CRITIQUE


      Wahrammer 40,000 Space Marine est un shooter à la troisième personne basé sur l’univers de Games Worskhop. Encore une fois, on parle d’une franchise riche avec une tonne de livres, jeux de rôles, wargames, etc.

      Malheureusement, ce jeu déçoit à souhait! Space Marine sur Xbox360 est un shooter excessivement linéaire avec des environnements banals, répétitifs et emmerdants. L’histoire est pratiquement inexistante et vide comme j’en ai rarement vu dans ce type de jeu. Il y a peu de cinématiques pour se mettre dans l’ambiance. Dès le début, vous êtes déportés sur une planète où l’on vous demande de tuer de l’orks, encore et encore. On termine l’aventure en ayant acquis à peu près rien sur ce riche univers dont il s’inspire.

      Le gameplay n’est pas mal, pour un shooter, mais il manque de variété. Il y a quelques bon moments aussi mais j’aurais aimé explorer un peu plus que se qui m’était permis. J’ai bien aimé la séquence avec le Titan, un espèce de Battlemech de 100 tonnes. Mais encore une fois, la séquence avec la machine est de courte duré et on passe vite à une autre séquence de destruction. Le boss final est aussi très banal et l’histoire suppose qu’il y aura une suite.

      Je n’ai pas joué online et, peut-être, que de se mesurer à d’autres joueurs en se tapant sur la gueule augmente la valeur de ce titre. Mais avec la sortie d’un Gears of war 3 la semaine prochaine et les MW3, je craint pour la longévité de ce titre.  

      Bref, Space marine est un shooter hack & Slash bien ordinaire avec une histoire minimaliste qui offre quelques bon moments de décapitations d’orks mais sans plus. Une location assurée!

      Un décevant 6.5/10